Synopsis
Terre 2293. La civilisation humaine a périclité. Subsistent des bandes barbares qui continuent de massacrer au nom de leur dieu Zardoz. L’un d’eux, Zed, pénètre dans la statue qui représente la tête du dieu Zardoz et de là entre en contact avec « les éternels ». Cette caste humaine est immortelle et ne procrée plus. Elle a pour esclave des humains fournis par les barbares. Ils sont protégés par le Tabernacle qui détient leur savoir et leur immortalité et Par le Vortex sorte de mur invisible mai impénétrable. Zed est fait prisonnier et échappe à la mort en devenant un sujet d’études scientifiques…
CRITIQUE
Catastrophe cinématographique signée John Boorman. Deux ans après « Délivrance » (« Deliverance« ) (1972), film violent mais au succès public et critique, le réalisateur britannique veut développer le thème de la condition humaine dans un monde post apocalyptique. Il ressort ses sujets de prédilections : la violence et sa préoccupation écologique.
Mais il échoue, la faute au scénario qui s’emberlificote entre différents monde, des situations trop étranges, des dialogues assez niais.
Je ne parle pas des costumes (prétérition) hideux pour tous et pour Sean Connery, ridicule.
Difficile de ne pas regarder le film un sourire narquois aux lèvres.
John Boorman heureusement n’est pas un manche derrière la caméra et quelques plans relèvent un peu le film du désastre total. La tête du dieu Zardoz qui vole et atterrit ou bien le massacre final.
Le reste n’est que salmigondis d’images surannées et de dialogues vains.
La musique de David Munrow fait elle aussi dans l’inanité. Beethoven passe au début et à la fin du film. Merci Ludwig!
LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE
Le massacre des « éternels » lassés de leur immortalité et qui réclament les balles des barbares en se jetant vers leurs
L’ANECDOTE
Le film est un échec cinglant.