Synopsis
Campagne Bourbonnaise dans les années 1980, deux retraités, Le Glaude et Le Bombé vivent en retrait du village, ils passent leur temps à se chamailler et à se réconcilier en buvant « des canons ». Et vident consciencieusement quelques litres quotidiens d’une infâme vinasse. Quand les nuits sont trop longues elles finissent en concours de pets. Ce qui finit par attirer inévitablement un extraterrestre qui débarque avec sa soucoupe volante…
CRITIQUE
Film inepte, indigne, vulgaire, imbécile, insultant l’intelligence du spectateur.
Tout y est mauvais : le jeu des acteurs qui en font des tonnes, le scénario écrit sur un coin de table après un repas trop arrosé, les dialogues invraisemblables, en passant par la non réalisation de Jean Girault, les décors studio hideux, et les effets spéciaux que Steven Spielberg a dû nous jalouser pendant une demi seconde avant de se raviser.
Enfin une musique issue d’un orgue Bontempi; le même que l’on m’avait offert à noël de cette année 1981.
Bref un condensé du pire du cinéma de comédie.
LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE
La Francine revenue des morts chez les vivants, décide d’aller se faire belle. Elle se trouve une panoplie rose qui lui moule les seins. En sortant sur la place du village, elle se fait siffler par une armée de jeunes cons de motards. Et c’est le coup de foudre entre elle et le plus blondinet parmi ceux-ci. Enchaînement anthologique de mauvais goût et de crétineries au mètre/pellicule.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=BdFycRuupug[/youtube]
L’ANECDOTE
Le film est tiré d’un roman de René Fallet. Énorme succès en salles!
J’en tomberais de ma chaise!