Synopsis

Tout d’abord en 1912 on voit le jeune Indiana Jones tenter d’empêcher un pilleur de trésor de s’accaparer d’une croix en or et l’adoption du chapeau et du fouet, par notre jeune héros, ainsi que sa phobie pour les serpents. 1938, Walter Donovan, un amateur d’antiquités le contacte et lui demande de se mettre à la recherche du Saint Graal à partir d’un extrait de texte gravé sur une pierre. Donovan lui apprend que son père était à sa demande parti pour cette même mission mais qu’il avait disparu. Indiana Jones part pour Venise dernière piste où se trouvait son père…

CRITIQUE

Assurément le meilleur des trois premiers épisodes.

George Lucas et Steven Spielberg se ressaisissent après le calamiteux « Indiana Jones et le temple maudit » (« Indiana Jones and the Temple of Doom« ) (1984).

Un super scénario, sans le moindre temps mort et des rebondissements à la pelle.
Une tripotée de méchants tous plus réussis les uns que les autres.
Un duo Sean Connery – Harrison Ford magnifique.

Une reconstitution historique fantaisiste mais irrésistible.

Et la musique de John Williams beaucoup moins tapageuse que dans le précédent.
Et surtout de l’humour à grosse dose.

Le meilleur film de Steven Spielberg? Le meilleur Indiana Jones!

LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

La recherche de la sépulture du chevalier dans les égouts de Venise. Scène désopilo-dégoûtante un vrai bonheur!

L’ANECDOTE

La gifle que Jones père donne à Jones junior n’aurait pas été écrite, ce serait une improvisation de Sean Connery.

NOTE : 16/20

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