Synopsis

Rio de Janeiro, Brésil années 1950, Mister Holland est dans son restaurant habituel. Il y est célèbre pour sa prodigalité pour des œuvres diverses et pour sa générosité en pourboires. A sa table un compatriote l’interroge sur l’origine de sa fortune. Mister Holland lui explique qu’il faut revenir un an en arrière à Londres à l’époque où il était chargé de la surveillance du transport de lingots d’or entre la banque et la fonderie et qu’il était pensionnaire au Lavender Hill. Il a vécu 19 ans de frustrations jusqu’au jour où une opportunité de mettre son plan en action se présente…

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CRITIQUE

C’est sympa, c’est parfois inventif, c’est aussi parfois laborieux. Un film qui débute sur le charme furtif d’Audrey Hepburn et s’achève sur un bon twist ending. Entre les deux, le film est assez inégal. La mise en oeuvre du vol est bien plus intéressante que les péripéties qui accompagnent celui-ci et celles qui succèdent. Par exemple, la course après les tours Eiffel en or est plutôt foutraque et guère intéressante.
Peu importe après tout l’on passe un agréable moment avec cette comédie britannique.
Le casting tenu par Alec Guiness et Stanley Holloway est très sympa. Ces deux là forment un excellent duo.
La musique de Georges Auric accompagne les images sans faire d’étincelle.

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LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

La scène finale plutôt surprenante et qui relève le film in extremis.

L’ANECDOTE

On retiendra que ce film est un pur produit des studios Ealing qui eurent 7 ans de grâce en produisant des comédies policières entre 1948 et 1955. Les films les plus célèbres outre « De l’or en barres » sont « Noblesse oblige » (« Kind Hearts and Coronets« ) (1949) de Robert Hamer et « Tueurs de dames » (« The Ladykillers« ) (1955) de Alexander Mackendrick.

NOTE : 12/20

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