Synopsis

New York, Michael Newman un architecte travaille pour une grande compagnie d’architecture. Il se fait exploiter dans son travail par Hammer son patron qui lui agite régulièrement la carotte d’une future association. Lui privilégie donc son travail à sa famille mais il a bien du mal à assumer. Après une dispute avec sa femme il va prendre l’air et se balader. Il rentre au hasard dans un magasin de literie. Dans ce magasin une porte l’attire il l’ouvre se trouve plongé dans un long couloir obscur qui l’emmène jusqu’à une pièce ou un certain Morty semble s’affairer. Morty lui demande ce qu’il veut. Michael lui dit qu’il aimerait une télécommande qui l’aide à gérer sa vie. Morty lui dit qu’il a justement un prototype dans un placard. Il le lui donne après lui en avoir montré les rudiments. Il lui donne aussi sa carte professionnelle pour qu’il l’appelle au moindre problème…

 

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CRITIQUE

Comment passer à côté d’un film qui pouvait être à la fois porteur de comédie et de réflexion. Film écrit en dépit du bon sens et qui puise largement dans les travers de la comédie vulgaire des frères Farrelly.
Dommage car Adam Sandler peut faire des choses sensationnelles comme « Punch-drunk love » (2002) de Paul Thomas Anderson. Mais depuis ce film il court après le même genre de comédies à la fois mielleuses, peu ambitieuses, et bien souvent se vautrant dans quelques scènes à l’humour douteux.

Depuis « Mary à tout prix » (« There’s someting about Mary« ) (1998) de Bobby et Peter Farrelly, une comédie américaine se doit d’injecter quelques trivialités sexuellement explicites ou scatologiques.
Autant dire qu’à ce film j’ai peu ri.
On peut regretter la classe des comédies avec Cary Grant et James Stewart.

Si le casting fonctionne plutôt bien mis à part une Kate Beckinsale transparente, le scénario tourne vite en rond et la comédie s’étire, s’étire et finit par lasser. La fausse fin futuriste est elle carrément manquée.

La musique de Rupert Gregson-Williams est une abominable soupe qui coule dans les oreilles et peut révulser les âmes sensibles.

 

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LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE

Michael est dans le bureau de son patron qui le fait lanterner avec une éventuelle association. Excédé par l’attente et la pression professionnelle, il saisit sa télécommande met son patron sur pause, se met debout sur le bureau et lui pète au nez.

L’ANECDOTE

L’idée est venu au scénariste après une dispute avec sa petite amie. Excédé de l’entendre lui hurler dessus il a braqué la télécommande de la télévision vers elle et a appuyé sur la touche « mute », hélas pour lui sans effet. Il a donc eu l’idée que cela puisse marcher…

NOTE : 07/20

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