Synopsis
2017 au pays du Père Noël et à 3 jours de la nuit du réveillon, les choses vont leurt train, les derniers jouets se fabriquent, et s’emballent. Mais un virus atteint les lutins qui tombent tous inanimés. Wanda la femme du Père Noël fait des recherches et découvre qu’il faut de la vitamine c pour requinquer tout ce monde. Le père Noël n’a pas le choix il prend traîneau et rennes et part à la recherche de cette fameuse vitamine. Hélas en chemin un incident technique oblige le convoi à atterrir sur le toit du Moulin Rouge à Paris…
CRITIQUE
Alain Chabat s’empare du film de Noël, genre plutôt prisé aux Etats-Unis. Il tente d’y injecter de sa folie et son humour décalé, parfois ça marche. Notamment les scènes avec les rennes, parfois ça foire, par exemple les scènes avec les enfants.
Ce n’est pas le meilleur film du réalisateur mais on peut y prendre du plaisir par instants en tant qu’adulte. Lors d’autres moments si l’on est enfant qui est quand même le public cœur de cible si l’on me permet ce langage publicitaire.
Acteurs principaux et guests servent le film au mieux.
Je viens de découvrir dans ce film l’actrice Golshifteh Farahani et j’ai bien hâte de la voir ailleurs.
Les effets spéciaux sont propres, l’imaginaire de l’auteur semble sans bornes, quelques maladresses scénaristiques parasitent le propos.
La musique de Mathieu Gonet est en carence d’un air populaire ou d’une mélodie qui ressemblerait à une berceuse.
LA SCÈNE D’ANTHOLOGIE
Santa parti en traîneau volant chercher de la vitamine en Australie doit faire un atterrissage en catastrophe échoue sur le toit du « Moulin Rouge ».
L’ANECDOTE
La rencontre entre Santa et un père Noël devant un peep show. Jean-Pierre Bacri toujours aussi désopilant.
NOTE : 12/20
Video & Photo
